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BETER LEREN KENNEN OM BETER TE BESTRIJDEN

Quelques nuisances :

Les pigeons eux-mêmes :

  • Sont bruyants
  • Sont porteurs de maladies (toxoplasmose, orniothose, mycose)
  • Leurs nids attirent les insectes et les rats

Leurs excréments :

  • Souillent les bâtiments et trottoirs
  • Obstruent les gouttières
  • Sont corrosifs pour les toitures et le zinc
  • Détériorent la pierre
  • Sont malodorants
  • Abiment les plantes

Quelques conseils :

Une bonne lutte intégrée contre les pigeons et autres volatiles urbains passe d'abord par une limitation des sources de développement des populations, sans qu'il leur soit fait aucun mal .

En ce qui concerne les procédés d'éloignement physique qui restent les plus efficaces à ce jour, l'obtention d'un résultat radical repose sur des principes simples comme :
  • L'enlèvement des nids
  • Le nettoyage préalable des zones à traiter
  • Le choix du procédé adapté au cas rencontré :
    Sur les bandeaux, corniches, tablettes, gouttières, pose de piques inox, fil tendu, rail electrique en fonction des considérations esthétique.
  • Pour les espaces vides ( cour d'immeuble, niches et statues) : obturation par un filet.
-> Et bien entendu, limitation des accès à la nourriture

 


Mise en place respectant les règles suivantes :

  • Protection entière du bandeau si l'on souhaite l'éloignement du bâtiment traité.
  • Nettoyage soigné des endroits à protéger
  • Obturation des orifices permettant la nidification
  • Pose collée ou vissée suivant le support
  • Respect de l'esthétique


Quelques techniques :

Les systèmes à pics éloignent les pigeons et les mouettes sans les blesser.
A utiliser aux endroits où une faible à très haute résistance aux pigeons est exigée. C'est un système solide et discret, très facile et très rapide à mettre en place sur les murs, corniches, …
Les systèmes à pics sont généralement collés à l'aide d'une colle siliconée neutre, sans forer et sans appareillage particulier.

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La présence de pigeons dans les villes fait partie intégrante de notre vie quotidienne.
Leur présence dans les parcs est source de beaucoup de satisfactions pour les personnes âgées et les enfants. Leur élimination n'est donc pas souhaitable et, de toute façon, impossible
La compétence d'un professionnel au service des communes et des particuliers
.
Des performances reconnues
La première chose
à faire est de repousser les pigeons des endroits où ils nichent, dorment et se reproduisent. Pour cela il faut obstruer les volumes (combles, greniers, lucarnes...) avec des filets et des grillages.

Une solution sur mesure pour une efficacité accrue
Aujourd'hui, l'ensemble de nos produits  vous apportent les solutions idéales pour éviter que les pigeons n'envahissent les monuments, lieux d'habitation et autres édifices de votre commune.
l'efficacité dans la diversité tout en respectant l'environnement. Nous préconisons en effet l'utilisation de méthodes combinées pour une efficacité optimale.


Alimentation du pigeon

Le pigeon des villes est essentiellement granivore.
Il consomme 30 à 50 grammes de graines par jour. Il boit longuement à heures déterminées, en plongeant son bec assez profondément dans l'eau et en aspirant le liquide à longs traits. Il a besoin de 150 à 300 ml d'eau par jour.
A l'état sauvage il mange des graines mais aussi des escargots, des lombrics et des plantes herbacées.
C'est un oiseau qui se nourrit au sol. Il mange les déchets des marchés, ce qui tombe des terrasses des restaurants, ce qui se trouve autour des poubelles, ce que leur donnent les enfants dans les squares...

Il peut passer des heures à chercher quelques miettes.
Il s'est donc adapté à manger de tout mais cette alimentation n'est pas forcément la plus adaptée pour lui. L'état général des pigeons en ville est souvent déplorable

Reproduction du pigeon

Les pigeons vivent en couple durable avec un grand attachement à leur lieu de nidification et à leur partenaire.

Le nid :
à l'état sauvage, le pigeon construit son nid dans les anfractuosités des falaises et des rochers.
En ville, le pigeon construit son nid sous les toits, sur le rebord des fenêtres, dans les passages ouverts des bâtiments... C'est le mâle qui se charge de récolter les matériaux : paille, brindilles, herbes, branchettes et même fils de fer. La femelle s'occupe de la construction. Les matériaux sont mélangés à des fientes et des plumes.

La parade nuptiale :
au printemps, le mâle gonfle les plumes de son cou et forme un éventail avec sa queue, il parade autour de la femelle en roucoulant et en s'inclinant devant elle.

La ponte :
Il y a 3 à 6 pontes par an. 10 à 12 jours après l'accouplement, la femelle pond en général deux oeufs allongés, à la coquille polie, blanche et luisante. Les oeufs sont couvés par le mâle et la femelle, alternativement. L'incubation dure 17 à 18 jours.

Les pigeonneaux :
Environ 69 % des oeufs donnent naissance à des oisillons. Ils ont un duvet jaune-brun et pèsent dans les 15 grammes à la naissance.

Le lait de jabot :
c'est un lait qui est produit par le mâle et la femelle. Ce lait est sécrété sous l'influence de la prolactine par les parents, à partir du 13ème jour de couvaison. La qualité de l'alimentation des parents en graines et en eau influe sur la qualité du lait de jabot.
Il est l'unique nourriture des pigeonneaux pendant au moins 12 jours. Ce lait est composé de 75 % d'eau, 12,5 % de protéines, 8,5 % de graisses, 4 % de minéraux et matières azotées. Ensuite, des graines sont introduites dans cette alimentation jusqu' à ce que le petit soit en âge de se nourrir seul, c'est-à-dire au bout de 3 semaines. Ils quittent le nid naturellement entre 30 et 35 jours. Leur maturité sexuelle est atteinte vers l'âge de 5 à 7 mois.

Longévité :
La durée de vie peut atteindre 16 à 17 ans mais en ville l'espérance de vie est plutôt de 3 à 6 ans. La reproduction est possible jusqu'à l'âge de 13-14 ans chez les mâles et 8-10 ans chez la femelle.

Le Pigeon des Villes

Le Biset (Columbia livia) ou pigeon des roches est l'ancêtre du pigeon domestique mais aussi du pigeon des villes (pigeon semi-domestique). C'est un pigeon qui pèse entre 250 et 300 grammes. On peut le trouver sur les côtes (picardes, normandes et bretonnes) et en montagne (Massif Central, Gorges du Tarn, Alpes du Sud). Il est cependant rare aujourd'hui de voir un pigeon biset de souche pure.

Caractéristiques physiques :
corps rond, ailes étroites et pointues, petite tête ronde avec un bec court, mince et noir marqué d'une tâche blanche à la base. Ses pattes sont rouges et ses yeux orangés. Le plumage de l'adulte est gris-bleu avec le dessus des ailes plus clair et barré de lignes transversales noires. Le cou est gris ardoise avec des nuances irisées pourpre et bleu-vert. La femelle a une couleur un peu plus terne. Les jeunes de l'année sont bruns sans reflet métalliques.

Le pigeon Biset des villes :
a un plumage souvent bien différent de celui que l'on peut observer à l'état sauvage. Il peut être gris, roux, lie de vin ou taché de blanc. Il mesure 30 à 35 cm, son envergure va de 60 à 70 cm et il pèse entre 230 et 370 grammes. Il mange toutes sortes de graines, d'aliments et détritus. C'est la lumière artificielle des villes qui provoque un développement précoce des glandes génitales et explique le nombre élevé de pontes. Le Biset vit maximum 6 ans.

Le vol
du Biset est extrêmement rapide, sa vue est perçante. Au sol sa démarche est vive et bien assurée. Cet animal a migré dans les cités pour y trouver logement, chaleur, nourriture et tranquillité.

Les autres pigeons des villes

Le pigeon Ramier (Colomba palumbus) : c'est le plus gros des pigeons domestiques. Il mesure entre 40 et 75 cm d'envergure, il pèse en moyenne 500 grammes. Son plumage est taché de blanc au niveau du cou et des ailes. Son iris est blanc-jaune. En ville, on le rencontre dans les parcs, les bois et les grands jardins. Il est aussi appelé Palombe, et est chassé à la campagne pour sa chair.

Le pigeon Colombin (Colomba oenas) :
il est de plus en plus rare en ville. C'est un oiseau arboricole comme le ramier. Son plumage est bleu cendré sans trace de blanc, et sa poitrine est rougeâtre.

Les Messagers

Pourquoi le pigeon voyageur revient-il à son colombier ?
Parce qu'il est doué de ce merveilleux sens de l'orientation dont on est encore loin d'avoir percé le mystère et les mécanismes. Comme tous les êtres vivants, il obéit à des instincts naturels notamment :
- la subsistance (recherche de nourriture),
- la procréation (comportement sexuel).
Pour le pigeon voyageur, oiseau domestique, ces deux notions l'obligent à posséder et défendre un territoire ( case, perchoir) afin de pouvoir s'y nourrir et procréer. Un mâle laissé seul dans un colombier s'accapare toutes les cases et ne supporte plus aucun autre pensionnaire en dehors de sa femelle.

Orientation du pigeon voyageur

Le Soleil :
les perturbations solaires (éclipse, éruption solaire) peuvent entraîner la désorientation du pigeon et une perte pour l'éleveur.

La Lune et les étoiles
: les pigeons voyageurs savent parfaitement s'orienter de nuit, contrairement aux autres espèces d'élevage ou de ferme.

Le Magnétisme :
le sens de l'orientation du pigeon est aussi dû à son extraordinaire sensibilité magnétique. Un organe, situé dans la partie supérieure du bec, composé de terminaisons nerveuses et de cellules sensorielles lui sert de radar et lui permet de "cartographier" mentalement sa position géographique.

La Vision :
la vision du pigeon voyageur n'est pas plus précise que celle de l'homme mais plus rapide. Le champ visuel du pigeon est de 300 degrés : à 60 mètres d'altitude son champ visuel est de 60 kilomètres. De plus, cet oiseau est sensible aux ultra-violets , ce qui lui permet de distinguer plus de teintes que l'homme et de détecter la polarisation de la lumière.

L'Ouie :
le pigeon perçoit les infra-sons (basses fréquences) et s'en sert comme indicateurs géographiques. Un pigeon volant au centre de l'Europe peut entendre le bruit des vagues de la mer !